Circuler à vélo sans lumière, c’est un peu comme traverser une rue les yeux fermés : risqué, imprévisible, voire dangereux. Et pourtant, encore trop de cyclistes sous-estiment leur importance, surtout en été où les trajets s’allongent en soirée ou tôt le matin.
Être vu, c’est (souvent) éviter l’accident
D’après la sécurité routière, une grande partie des accidents à vélo surviennent à cause d’un manque de visibilité, notamment en intersection ou par faible luminosité.
Les lumières sont là pour vous rendre visible des autres usagers, bien plus que pour voir. Elles signalent votre présence et vos mouvements.
« Même en pleine ville, un cycliste non éclairé peut littéralement disparaître dans l’angle mort d’un automobiliste. »
Les types de lumières à connaître
- Feux avant : blancs et puissants pour signaler votre arrivée.
- Feux arrière : rouges, souvent clignotants, ils évitent les collisions par l’arrière.
- Éclairages latéraux ou réfléchissants : parfaits pour être vu en angle.
- Clignotants intégrés : ils permettent d’annoncer vos changements de direction de manière claire et instinctive.
Un casque lumineux avec clignotants intégrés, comme le Fusion+ de Cosmo Connected, combine plusieurs fonctions essentielles : lumière arrière, feu de freinage et clignotants à hauteur des yeux. De quoi booster votre sécurité sans multiplier les équipements.
Le minimum légal… et le bon sens
En France, les feux avant et arrière sont obligatoires de nuit ou par mauvaise visibilité. Mais la sécurité ne s’arrête pas à la législation. Mieux vaut être un peu trop visible que pas assez, surtout face à des véhicules parfois peu attentifs.
La sécurité passe par l’habitude
Intégrer l’éclairage à sa routine vélo, c’est simple, rapide et vital. Comme attacher sa ceinture en voiture. Un éclairage bien choisi devient un réflexe qui peut littéralement faire la différence.